Dans les dernières années, on a eu droit à Québec au grand débat sur les noms des rues. Il fallait renommer les rues « doublons » à tout prix, pour une question de sécurité, disait-on.
Est-ce que cette question de sécurité si importante qu’il fallait restaurer serait devenue la cause de la mort d’un jeune dans un incendie dans St-Sauveur, où les opérateurs d’Hydro-Québec aurait bien pu agir du premier coup si la rue s’était toujours appelée « Ste-Thérèse », au lieu d’avoir adopté un nouveau nom obscur ?